Telecomix: des hackers pour communiquer librement, une méduse pour traquer les surveillants
Lire l’interview sur le blog de Geek Politics Plus d’info également sur Telecomix.org
tech, société, mobilité, copyleft, philo, etc…
«panoptICONS» attire l’attention sur le fait que nous sommes constamment surveillé par des caméras de surveillance dans les centres urbains. La caméra de surveillance semble être devenue un véritable fléau qui se nourrit de notre vie privée. Pour représenter ceci, les oiseaux caméra ont été placés dans le centre-ville d’Utrecht, où ils se nourrissent de notre présence… En savoir plus...
Cet été, Les Amis d’Orwell se sont rendus à Bruxelles, à l’occasion du pleinOpenAir, organisé par le cinéma Nova. Le festival avait pour thème le sécuritaire. Une visite guidée sur les caméras de vidéosurveillance était animée par la Ligues des droits de l’homme et l’association locale Constant dans le quartier Saint-Gilles. « L’impasse que font les médias et les politiques sur...
« De plus en plus dans chaque geste de notre vie quotidienne les nouvelles technologies s’invitent. Elles nous rendent service bien sûr mais nous identifient, nous localisent, nous tracent aussi.
Il en est de même pour nos recherches sur Internet ou pour la constitution de fichiers qui nous classent selon des critères qui nous échappent et recèlent des informations qui ne sont pas toujours exactes. Loin de là. Nombreuses sont d’ailleurs les institutions à s’émouvoir des risques de ces avancées technologiques sur nos libertés individuelles.
Il y a peu de temps encore la Commission Nationale informatique et liberté la CNIL rendait son 29è rapport annuel. Dans une certaine indifférence il faut bien le reconnaitre.
Pourtant en près de 40 pages cette commission indépendante qui emploie 132 personnes pour veiller sur nos libertés informatiques recense les dérapages, les erreurs et les manquements constatés tant dans la gestion et la constitution des fichiers de police que dans l’installation de système de vidéosurveillance ou de biométrie. On y découvre quelques chiffres qui font froid dans le dos. «